1887
Editorial Open Access
Like 0
This item has no PDF Download

Abstract

Comme à Amsterdam [1], la survenue, en 1978, d’une épidémie d’hépatite B due à un tatoueur a poussé à émettre des recommandations d’hygiène concernant les tatouages au Royaume-Uni. Trente cas primaires et trois cas secondaires avaient été identifiés lors de cette épidémie [2]. Les recommandations pour un tatouage hygiénique ont rapidement suivi, et globalement, ont été accueillies avec enthousiasme par les tatoueurs. Elles ont été étendues en 1982 à l’acupuncture, au piercing d’oreille et à l’épilation par électrolyse. Au même moment étaient votées les lois concernant le contrôle de l’hygiène des personnels qui réalisent ces pratiques {Local Government Miscellaneous Provisions Act 1982 [modifié en 2003] et le Greater London Council [General Powers] Act 1982}. Le piercing corporel n’était pas très répandu à cette époque, même s’il était sans nul doute pratiqué, mais parfois secrètement ; ce n’était pas encore une pratique aussi populaire et répandue qu’à présent. D’autres recommandations ont été émises par la suite pour les thérapies esthétiques, l’hygiène dans la coiffure et la micropigmentation.

Loading

Article metrics loading...

/content/10.2807/esm.11.01.00589-fr
2006-01-01
2024-11-22
http://instance.metastore.ingenta.com/content/10.2807/esm.11.01.00589-fr
Loading
Loading full text...

Full text loading...

/deliver/fulltext/eurosurveillance/11/1/art00589-fr.htm?itemId=/content/10.2807/esm.11.01.00589-fr&mimeType=html&fmt=ahah
Submit comment
Close
Comment moderation successfully completed
This is a required field
Please enter a valid email address
Approval was a Success
Invalid data
An Error Occurred
Approval was partially successful, following selected items could not be processed due to error